Catalogue des oeuvres de Max Pinchard

Spargens sonum

Spargens sonum, pour quatre tubas, (ou instruments en cuivre)

Cette œuvre comporte 4 mouvements :

Composition : Spargens sonum, pour quatre tubas, (ou instruments en cuivre) C'est à la demande du Quatuor de cuivres Tuba Mirum que Max Pinchard a écrit cette pièce en 1981 Spargens sonum doit son titre à un petit clin d'oeil complice que le compositeur lance à Hector Berlioz pour lequel il nourrit la plus fervente admiration. En effet, dans le Requiem, le Tuba mirum est un moment somptueux et Max Pinchard a voulu lui rendre hommage avec la pièce ici présente, en toute modestie, mais avec humour. Spargens sonum pour 4 tubas ou instruments en cuivre comprend quatre pièces d'une écriture simple et directe. Le recueil débute par un Funèbre, lent cortège empreint d'émotion. En revanche, le Refrain qui lui succède est dansant. Il se développe dans une atmosphère de liesse populaire. Mélancolie apporte un moment d'apaisement par ses contours de chant populaire délibérément modal. La Danse est, bien entendu, rustique à souhait, aux accentuations marquées. Les instruments se répondent, la conversation s'engage vive et amusée jusqu'à la conclusion.

Edition : Le Petit Page

Creation : Spargens sonum, pour quatre tubas, (ou instruments en cuivre) Salle André Malraux à Rueil Malmaison

Auditions :

Commentaire :

Spargens sonum, pour quatre tubas, (ou instruments en cuivre)

 

            C'est à la demande du Quatuor de cuivres Tuba Mirum que Max Pinchard a écrit cette pièce en 1981

            Spargens sonum doit son titre à un petit clin d'oeil complice que le compositeur lance à Hector Berlioz pour lequel il nourrit la plus fervente admiration. En effet, dans le Requiem, le Tuba mirum est un moment somptueux et Max Pinchard a voulu lui rendre hommage avec la pièce ici présente, en toute modestie, mais avec humour.

 

            Spargens sonum pour 4 tubas ou instruments en cuivre comprend quatre pièces d'une écriture simple et directe.

            Le recueil débute par un Funèbre, lent cortège empreint d'émotion. En revanche, le Refrain qui lui succède est dansant. Il se développe dans une atmosphère de liesse populaire. 

            Mélancolie apporte un moment d'apaisement par ses contours de chant populaire délibérément modal.

            La Danse est, bien entendu, rustique à souhait, aux accentuations marquées. Les instruments se répondent, la conversation s'engage vive et amusée jusqu'à la conclusion.

 

            En l’an 2000, à la demande de Jacques Dupont qui venait de prendre sa  retraite de professeur de violoncelle du Conservatoire de Rouen, Max  Pinchard a transcrit cette pièce  pour quatuor de violoncelles.

 

 

 



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