Catalogue des oeuvres de Max Pinchard
Terre d'ombre
Choral pour orchestre à cordes
La troisième pièce de "Aux fêtes de la Pluie" pour violoncelle, peut servir, avec orchestre à cordes, de prélude à Terre d'Ombre.
Durée : 10 minutes
Composition : Saint Maclou la Brière, 29 juillet 1977 : Version pour orchestre à cordes du Fleuve, second prélude du triptyque symphonique : La forêt, le fleuve et la ville.
Auditions :
- Orchestre de chambre de Marseille, dir. Christian Tournel
- Semaines musicales de Vannes, 21 juillet 1978, Orchestre de chambre d'Ankara, dir. Pierre-Michel Le Conte
- Rouen, 1987, Ensemble Orchestral de Haute-Normandie, dir. Jean-Pierre Berlingen
- Etats-Unis, Allemagne, Corée du Sud, dir. J.J. Werner.
- Paris, 13 novembre 1981, Orchestre de chambre de Grand-Couronne, dir. Max Pinchard, soliste : Mireille Lecomte.
- Rouen, 1987, Ensemble Orchestral de Haute Normandie, dir. Jean-Pierre Berlingen, soliste : Cécilia Tsan
- Notre-Dame de Gravenchon, 1998, Orchestre de Chambre de l' E.N.M.D. dir. André François, soliste : Isabelle Clatot
- St Petersbourg (Russie) 1998, mêmes interprètes.
Commentaire :
Lors des Semaines Musicales de Vannes, le 21 juillet 1978, le critique H.G. du journal La Liberté, Morbihan, pouvait noter : Ce vendredi 21 juillet, chapelle Sévigné, à Vannes, il s’est passé quelque chose à travers et avec la musique, l’aventure en solitaire du compositeur a trouvé son unité, sa force car, l’instant tant attendu de la rencontre avec le public se réalise et le « dialogue » s’établit. La joie mais aussi l’émotion pouvaient se lire sur le visage de Max Pinchard qui a trouvé sa voie dans Terre d’ombre. Cette œuvre nous a fort agréablement surpris par son lyrisme, sa passion, sa violence et son réalisme…
Christian Goubault écrivait dans le journal Paris Normandie, le samedi 23 mars 1985 :
« Terre d’ombre de Max Pinchard : Chants et contre-chants, courbes et contre-courbes, pâte sonore ultra-chantante, ardente et fluide…On ne mesurera jamais assez combien il faut de goût et de tact pour réussir une œuvre de ce genre. Le fait est là : une évidence. »