Catalogue des oeuvres de Max Pinchard

Trois Icônes, pour guitare.

Pour instrumentiste confirmé, niveau DEM. C'est à la demande du guitariste Alberto Ponce que ces trois Icônes pour guitare ont été composées, au Havre, en 1960. Elles ont été révisées en 1985. puis confiées à Olivier Dupont, professeur de guitare à Angoulême. qui les a modifiées pour les rendre plus accessibles aux guitaristes. L'écriture en était trop pianistique. C'est sous cette dernière forme qu'on peut les trouver éditées par Le Plac'Art, 5 ter, rue Basse, Poitiers 86000. au prix de 11 euros.

Cette œuvre comporte 3 mouvements :

Durée : 09 minutes

Edition : Le Plac Art

Enregistrements :

Commentaire :

Trois Icônes, pour guitare.

TROIS ICÔNES, pour guitare. Composition : Le Havre 1973. Révision : Olivier Dupont, en avril-mai 2007 Pour instrumentiste confirmé : niveau DEM

Cette œuvre comporte 3 mouvements :

 

Durée : 09 minutes

Composition : C’est à la demande du guitariste Alberto Ponce que ces trois icônes ont été écrites en 1973.

Edition : Association Le Plac'Art , 5 rue Basse Poitiers 86000 : 11 euros

Creation : Création : Grand-Couronne – 8 juillet 2007, par Olivier Dupont, chez le compositeur.

Auditions :

 

Enregistrements :

 

 

Les Trois Icônes furent composées en 1960 et créées quelques années plus tard …le 8 juillet 2007 à Grand Couronne chez Max Pinchard. Autour de nous, nous pouvions contempler des icônes : s’y reflétait une ambiance d’intimité, de mystère, de sérénité, de gravité parfois. Ce climat imprègne les Trois Icônes, baignées dans une lumière au travers de laquelle le temps semble être comme en prière. Seul opus de Max Pinchard consacré à cet instrument, l’œuvre est dédiée à l’éminent guitariste : Alberto Ponce, professeur à l’école normale de Paris. Le pourquoi de cette longue attente …Max en a lui-même oublié les raisons, mais, même les partitions reléguées au rang de « brouillon sans grand intérêt» finissent un jour par refaire surface et par livrer leurs secrets. … Bien que révisée une première fois en 1985, l’écriture très « pianistique» de certains passages nécessita d’ultimes modifications : accorder la pièce aux exigences de l’instrument sans trahir la pensée du compositeur…C’est le travail minutieux auquel se livra Olivier Dupont, tel le peintre d’icônes s’astreignant à passer plusieurs jours en prière avant d’enfin commencer son tableau, pour ensuite échanger sur ses choix avec Max qui l’assura de son entière approbation.

 Stéphane Bonneau in Le Chant des Voyelles 2008

 

 



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